mercredi 2 février 2011

Fusillade entre Forces de l’ordre et malfrats à Porto-Novo : Un mort, un blessé et plusieurs braqueurs arrêtés

Le Week-end dernier aura véritablement été le dernier pour certains divorcés sociaux. Le samedi 29 janvier 2001 dernier en effet aux environs de 19 heures, un échange de tirs a eu lieu au pont de Porto-Novo entre les forces de l’ordre et les occupants d’un véhicule Nissan de couleur bleu. Bilan, un mort, un blessé grave et deux arrestations dans le rang des présumés braqueurs.

Les faits
Des informations recueillies, il ressort que ce sont des mesures préventives résultantes des renseignements qui ont permis de mettre hors d’état de nuire les malfrats. En effet, il a été que les hommes du commissaire Prince Alédji ont mis en place leur plan d’attaque depuis la veille. Des indicateurs leur ont fait savoir qu’un braquage devrait avoir lieu le vendredi 28 janvier dans la ville de Cotonou était en préparation à Porto-Novo. Informé, le nouveau commissaire de la ville Capitale a mis un dispositif sur le trajet des malfrats. Avec un point d’ogre au pont de Porto-Novo. Les hommes en place avaient reçu comme consigne d’immobiliser le véhicule et de maîtriser tous les occupants. C’est d’ailleurs ce qu’ils ont tenté de faire ce samedi soir-là. Mais à leurs injonctions, un des occupants du véhicule a fait sortir une arme qu’il chargeait aussitôt. La réplique des forces de l’ordre a été instantanée. Résultat, un mort originaire d’Akpadanou dans la Vallée de l’Ouémé. Son coprs est actuellement déposé à la morgue. Un autre Béninois occupant du véhicule a reçu une balle dans sa jambe droite. Originaire d’Adjohoun, il réside avec sa femme à Yèvié dans la commune d’Adjarra . Les deux autres occupants sont d’origine nigériane. Il sont gardés au commissariat central de Porto-Novo.
Aux dernières nouvelles, d’autres arrestations ont été faites entre la soirée du samedi dernier et hier mardi 1 février 2011. Un charlatan complice des malfrats arrêté est activement recherché et serait déjà localisé. Quant au blessé par balle, il a été conduit dans la soirée d’hier au Centre Hospitalier Départemental de l’Ouémé pour des soins intenses car la jambe atteinte est devenue gangrénée et puante.

Epiphane Quenum dans le collimateur des députés RB

De sources dignes de foi, on apprend que ça grogne dans le rang des députés RB. Les mêmes sources laissent entendre que l'objet de la rancœur est le comportement hégémonique du député Epiphane Quenum, à qui ses camarades reprochent de s'accaparer du processus de désignation de leurs représentants dans les démembrements de la cena. Le suppléant du député Tomadaga menacerait même de claquer la porte.

lundi 24 janvier 2011

Pour lui avoir caché l’identité de son père, Un jeune homme tue sa mère et sa grand-mère

Deux cadavres de femmes auraient été retrouvés calcinés tôt dans la matinée du vendredi dernier à Houèto dans la commune d’Abomey-Calavi. A en croire les voisins des deux victimes, il s’agirait des locataires qui auraient intégré leur chambre la veille du drame.

Selon l’officier de police dépêché sur les lieux du drame, les deux victimes auraient été aspergées d’essence dans la nuit profonde par des gens malintentionnés qui les auraient brûlés par la suite. Cette version de l’officier se serait justifiée par la découverte à l’arrière cour de la chambre des victimes, du bidon d’essence qui aurait favorisé le crime. De leur côté, les voisins des victimes racontent qu’ils ont été réveillés dans leur sommeil par une odeur exténuante de brûlée. Les enquêtes diligentées auraient quelques heures après conduit à l’arrestation d’un jeune homme de trente ans (30) du nom de Adoko qui confia à l’officier de la brigade de Godomey qu’il serait l’auteur de ce crime odieux. Le jeune homme, d’après les faits, aurait tenté à maintes reprises d’amener en vain sa mère et sa grand-mère à lui dire qu’elle était l’identité de son père. Ainsi ce dernier aurait décidé de mettre fin à la vie de ses parents. Il aurait été appréhendé dans sa fuité à hauteur de Sèmè près de la frontière et se retrouverait derrière les barreaux pour répondre de son forfait

mercredi 19 janvier 2011

Un écolier de 18 ans viole une fillette de 9 ans

Bétintigou Samson, jeune homme de 18 ans, est un écolier en classe de Cm2 dans la localité de Bonsi, arrondissement de Sirarou dans la commune de N'Dali. Il a choisi de jeter son dévolu sur une fillette de 9 ans pour satisfaire sa libido. En effet, c'est la grande mère qui ayant remarqué que sa petite fille avait des difficultés pour se déplacer a soumit cette dernière à une petite interrogation. Ce qui a permis de comprendre ce qui s'est passé.


Interpellé par les gendarmes de la commune de N'dali, Samson n'est pas allé par quatre chemins pour son aveu et reconnaître les faits. Il est actuellement dans les mains des forces de l'ordre afin de répondre de son forfait.
Les nombreuses sensibilisations sur les violences basées sur le genre et harcèlement sexuel en milieu scolaire assurées par les différentes organisations non gouvernementales rencontrent toujours des poches de résistance. C'est dire donc que le chemin est encore loin pour bannir cette vilaine pratique qui dégrade l'être humain.

vendredi 14 janvier 2011

IL REALISE UN FILM X POUR VALIDER SON DIPLOME UNIVERSITAIRE !

Des professeurs d'université ont autorisé un étudiant à présenter un film pornographique comme devoir de fin d'année. Six mois après, l'étudiant a donné une interview qui a fait éclater ce scandale, provoquant le renvoi de trois enseignants et de vives réactions à travers toute la presse.
Un étudiant turc n'a pas manqué d'audace en fin de cursus pour faire valider son diplôme. Inscrit à l'université Bilgi d'Istanbul, il a souhaité se démarquer un peu des autres élèves en demandant l'autorisation à son corps professoral de tourner un film pornographique pour valider son examen au département de photographie et de vidéo. Après de nombreuses tergiversations, les enseignants ont finalement accepté le projet.

"Tester les limites" de l'université
L'audacieux Deniz Özgün a expliqué ses intentions à la revue Tempo : "J'avais envie de réaliser quelque chose qui permette de voir jusqu'où pouvaient aller les limites de la liberté académique dont on nous parle depuis tant d'années... Parce que l'université, c'est en réalité un espace de liberté souvent inutilisé. J'ai donc pensé qu'un film porno serait le meilleur moyen pour tester les limites de cette liberté".
Pour se défendre face au conservatisme qu'il souhaite dénoncer grâce à son œuvre pornographique, il ajoute : "L'épreuve de vérité commence maintenant, avec cette affaire. Toute cette ambiance oppressante me dérange beaucoup. J'en ai marre d'être enfermé dans les quartiers chics et branchés d'Istanbul. Vous pouvez considérer que ce film est une réponse hardcore au conservatisme ambiant. Si nous vivions dans une société plus libre, une telle idée ne me serait sans doute jamais venue à l'esprit".

Un tollé dans tout le pays
Suite à cette affaire, trois professeurs ont été renvoyés de l'université. Dans la presse, les réactions ont été très nombreuses, certains critiquant le manque de pédagogie dans cette méthode, comme l'explique l'éditorialiste Mehmet Yilmaz dans Hürrieyt : "Une université doit certes pouvoir effectuer des recherches sur la pornographie et voir les réactions que ce genre suscite dans la société mais cela n'a rien à voir avec le tournage d'un film en tant que tel. Que les professeurs n'aient pas convaincu cet étudiant qu'il faisait fausse route est une faute que le concept de liberté scientifique n'excuse pas".
D'autres estiment quant à eux que cette réaction aussi virulente est injustifiée, comme l'éditorialiste Hincal Uluç dans Sabah : "Bilgi est une université vraiment libre avec même une section de Jazz. Ses étudiants avaient joué en turc la comédie musicale américaine Rent dont les personnages principaux sont des gays et des lesbiennes. Je l'ai vu cinq fois. Mais là, il a suffi d'une thèse présentée sous la forme d'un film de trois minutes pour que l'on licencie trois enseignants et que l'on bascule dans la peur et le conservatisme ... ".
Au final, l'étudiant avait obtenu un D pour son devoir mais a tout de même été diplômé.